Certains chanceux voyagent pour leur job, j’en compte d’ailleurs parmis mes amis. Ils ressemblent à ces peronnes que l’on croise dans les aéroports internationnaux, la démarche pressée, le regard rapide sur les tableaux d’informations des vols, l’air blasé de toute cette technologie qui nous permet de s’envoler à l’autre bout de la terre sans effort. Le voyage en lui-même est devenu si confortable qu’on le considère comme une perte de temps. Et comme le temps c’est de l’argent, ils se plongent dans leurs ordinateurs portables, travaillent via internet et passe d’interminables coup de fil avec leurs i-phone. Ainsi, ils se fondent dans la masse des milliers de voyageurs. Je me souviens que lors de nos soirées « entres potes », j’enviais parfois celui qui se faisait NYC, Dubaï, Mexico 6 fois par année. Mais cette année ce fût mon tour. Mon….patron (appelons-le comme ça) m’a expédié avec deux autres de mes collègues à Dallas aux USA. Probable que la chance ne me permettra pas de voyager souvent aussi loin. J’ai donc pu goûter aux joies du voyage professionnel et cotoyé ceux qui le font très souvent et dont je vous parlais en préambule. Je n’en suis bien sûr pas à mon premier périple intercontinental, mais cette expérience a été géniale. D’abord pour mon métier, mais également en regard aux gens rencontrés là-bas. Alors l’Amérique, c’est cool, c’est grand, c’est top moumoute. Et pour l’occazz, y’a même une galerie rien que pour ça !